17 mai 2011
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J’ai choisi ce trente juillet de l’an deux de commenter, dans le commentaire de moi-même – comment-taire ? – la construction de ce qui amène au projet définitif, pour qu’ils apprennent le sens du chemin là où je les mène, en quelque sorte à leur insu, car il n’y a, bien entendu, (il n’y a pas plus sourd celui qui ne veut entendre), qu’un seul maître à bord, et ce n’est pas eux !
Un jour à la dérive
prisonnier
d’un oubli de souvenir
pharmacologique
2.08.02