Demain ne sera jamais trop tard
Hier qui se souviendra
du mal des forces obsolètes
pour quelle maladie du sommeil
jeunesse foulée face au mépris de ceux qui le furent si peu
et qui se détestent
tant et plus qu’ils ne veulent espérer
Qui partage la détresse
Le sentiment de vouloir du neuf du mieux
Chaque époque porte décidément sa part de tristesse d’ombres
Chacun regarde puis jette son miroir
Devine le sens caché
Où se trouve l’œuvre de liberté
Et si le pouvoir corrompt
Elimine et neutralise les beautés d’un si petit monde
A qui donc appartient l’avenir
Serons-nous capables de faire face