16 mars 2011
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Depuis trop longtemps des caravanes ont séparé les déserts
Et voilà que l’on rêve à des rêves éteints
Des rêves d’ivrognes déchirés par les armes de la nuit
Quand des lignes obliques ont jailli des testaments lagunaires
Aux langages périphériques
Des sobriquets cris sauvages et monologues d'un play back assourdi
Le peuple même en a oublié son nom
Il est tard mais
Il faut le dire
Le peuple
Même
En a
Oublié
Son
Nom